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Dans notre précédent article, nous partagions quelques astuces pour réussir son premier entretien d’embauche en tant que testeur, et nous invitions à mettre en avant les expériences passées dans d’autres domaines. Aujourd’hui, nous avons le plaisir d’approfondir ce sujet, en partageant avec vous un beau bouquet de témoignages recueillis auprès d’une multitude de QA issus de reconversions. Et vous verrez que beaucoup de ces profils ont exercé dans des domaines très éloignés de l’informatique, et ont su tirer parti au maximum de ces expériences !
Les soft skills sont au cœur de cet article, et nous espérons qu’à votre tour vous prendrez conscience des trésors que vous apportent vos expériences passées.
Bonne lecture, et bon courage aux aspirants testeurs qui nous lisent et se préparent à leur nouvelle carrière !
Ce témoignage de Romain C file la métaphore du football, son premier domaine d’expertise, et qui vient aujourd’hui nourrir sa pratique du test. L’état d’esprit qui en ressort est extrêmement motivant… voire épique !
J’ai pu travailler 2-3 ans dans le secteur du sport avant de prendre un virage à 90° pour travailler dans le monde du test.
Mes premières expériences dans le sport me servent beaucoup aujourd’hui dans le monde du test.
Dans le sport j’utilise :
Ces éléments me servent à surmonter les difficultés de projets ou des équipes et je n’aime pas abandonner ou perdre. 😉
Je fais beaucoup de métaphores et d’allusions au sport.
Je considère vraiment ma squad comme mon équipe de foot avec :
Aussi, je considère :
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Dans ce témoignage, A.B illustre ce qui pourrait être un proverbe : “tous les chemins mènent au test” ! Elle montre aussi l’intérêt d’avoir pu développer une expertise métier poussée dans un domaine particulier.
A la base, je suis ingénieur en biologie cellulaire et moléculaire, mais il n’y avait pas du tout de débouchés.
Ma jumelle, qui avait fait une école de commerce et est devenue QA, m’a cooptée.
On a toutes les deux fait des études qui n’ont rien à voir et on se retrouve à faire le même métier !
J’ai fait pas mal de QA dans le domaine médical. Je me mettais à la place du personnel de santé et surtout, je comprenais à quoi servaient les features implémentées.
Il y a aussi beaucoup de logique. Des symptômes qui indiquent un diagnostic et entraînent un traitement. Le traitement a potentiellement des effets secondaires, est-ce que c’est acceptable ou non… ça s’applique aussi à l’informatique.
Maintenant que je ne travaille plus dans le médical, je garde le même esprit de bien comprendre la feature et la même logique. Et je trouve ça hyper cool d’avoir des résultats si rapides (contrairement à un traitement qui nécessite des jours et des jours avant d’avoir un résultat). En une ligne de code, ça peut être résolu 😊
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Sabri Taleb est chimiste de formation et a même réalisé un doctorat dans cette discipline. Dans sa carrière de testeur, il a pu constater des parallèles entre les deux univers.
La chimie est un domaine passionnant mais parfois surprenant. Il faut être extrêmement rigoureux, curieux et avoir un esprit critique (comme dans le test), contrôler chaque étape de transformation en faisant des analyses qualité (très souvent plusieurs analyses qui viennent compléter ou confirmer que le produit attendu est bien formé) et si nous voyons que ce n’est pas le cas, analyser et comprendre ce qu’il s’est passé et essayer de reproduire l’anomalie (si c’en est une) et modifier les protocoles.
Et même si le protocole est maîtrisé et routinier, un contrôle n’est pas exclu (encore une fois, comme dans le test 🙂 ), même si nous n’allons pas pousser les analyses qualité (une analyse rapide suffit).
De tout ça, il y a beaucoup de similitudes, ce qui fait que j’ai pu me sentir à l’aise dans cette nouvelle aventure.
En effet, Sabri Taleb s’est retrouvé propulsé dans le monde du test (comme tant d’entre nous !) par une heureuse opportunité… qu’il a saisie in extremis !
J’ai toujours été attiré par ce que je ne connaissais pas. Lors de ma thèse, on m’avait proposé de refondre un site web, j’ai accepté sans avoir aucune connaissance, du coup j’ai aimé rechercher des solutions et tâtonner jusqu’à avoir un site fonctionnel en y ajoutant une fonction qui permettait aux étudiants de s’inscrire en master directement en ligne. Fini les dossiers papier !
C’est un concours de circonstances ; mes expériences professionnelles dans la chimie étaient courtes (CDD) et il n’y avait pas de postes dans ce domaine dans ma région. Privilégiant le côté familial, j’ai donc regardé ce qu’il y avait de disponible dans les environs, et j’ai constaté qu’il y avait des postes principalement de l’informatique.
J’ai trouvé une annonce qui offrait une possibilité de reconversion de bac +5 scientifique en dev Java, j’ai postulé et j’ai été accepté de suite en POEI (une entreprise s’engageait à embaucher après la formation).
A la fin des 3 mois intenses où on apprend la base du développement et des langages, l’entreprise m’a proposé de suivre une autre formation de 3 mois pour faire de la QA.
J’ai d’abord refusé, puis j’ai accepté de suivre la formation le jour de la date de clôture des dossiers.
Et c’est comme ça que je suis devenu QA avec des compétences en automatisation.
⚗️
Avant de se reconvertir dans le domaine de la qualité logicielle, Coralie Cebron de Lisle a exercé dans différents domaines, dont la vente de produits de luxe. Ce qui a contribué à forger son exigence qualité.
En tant que vendeuse de produits de luxe, j’ai appris que les petits détails ont une grande importance et c’est dans son ensemble que le produit prend de la valeur, car aucun détail ne doit être négligé. Et c’est bien là qu’on peut reconnaître la qualité d’un produit.
Tout comme dans le test, il est important d’être curieux, à la fois des technologies utilisées et de la façon de travailler de ses propres collègues afin de comprendre comment le résultat final est obtenu.
Ses expériences précédentes ont également eu un impact positif sur son savoir-être :
Dans mon expérience passée, que ce soit dans le tourisme, ou dans le commerce, être un bon communicant est essentiel au sein de l’équipe, non seulement par la bonne humeur, mais aussi par une facilité d’adaptation à travailler avec des collègues avec des personnalités très différentes.
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Dans ce témoignage, F.D met en évidence les atouts qu’apporte un background QSE à une carrière dans la qualité logicielle.
En tant qu’ingénieur QSE, j’étais chargée d’accompagner les entreprises dans leurs démarches de certification ISO/TS 14001. Ça consistait à mettre en place la gestion des déchets, la gestion des produits chimiques ou encore la veille réglementaire pour la partie environnement. Pour la qualité, les activités étaient du type audit, reporting fournisseur.
Je dirais que les parallèles les plus évidents avec le test logiciel sont surtout du côté qualité. Pour l’écriture des rapports d’anomalies, je m’inspire beaucoup des méthodes de résolution de problèmes : la méthode QQOQCP, les 5 pourquoi, entre autres méthodes… Cela m’aide beaucoup à structurer ma pensée.
Le côté très procédural des certifications ISO m’a aussi permis d’acquérir des compétences en gestion documentaire. Cela n’est pas forcément mis en avant dans le contexte agile mais chez une entreprise cliente qui ne possède pas d’outils de tests, ça peut être un sacré avantage.
Le métier d’ingénieur QSE est aussi un métier de formateur (aux procédures qualité, aux situations d’urgence…) Il m’a permis aussi de savoir comment m’adresser à différents publics (développeurs, product leaders, etc…) pour aller chercher l’information, pour rendre compte d’une anomalie, pour décaler un planning…
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Dans son “ancienne vie”, David Venjon était chef de secteur alimentaire. Ce métier consiste à gérer le secteur alimentaire d’un magasin en incarnant les valeurs et l’esprit de l’enseigne.
Dans ce métier, rechercher en permanence la satisfaction des clients est primordial. Il faut avoir le sens du commerce et de la bienveillance. On doit veiller au respect de la politique commerciale du groupe, de la mise en place de l’ensemble des opérations commerciales. Avoir des connaissances en gestion est un plus. Il faut connaître ses budgets, apporter des correctifs si nécessaire et bien entendu, développer son CA. On doit former ses collaborateurs, les faire monter en compétence, recruter le cas échéant. Des notions de droit du travail sont nécessaires, et la rigueur et l’anticipation font partie du quotidien.
Lors de ma reconversion professionnelle dans la qualité logicielle, j’ai analysé mes softs et hard skills acquises tout au long de ma carrière (17 ans) et j’ai synthétisé celles qui me seraient utiles dans l’informatique.
Je retiens les compétences transverses suivantes :
Toutes mes compétences étaient axées vers un seul et même objectif : la satisfaction du client.
Depuis 2 ans, je me suis appuyé sur ces forces, qui représentaient mon socle de base, mon cercle de confort, afin de pouvoir me dépasser et acquérir de nouvelles compétences déterminantes dans mon nouveau métier :
Les compétences transverses sont une valeur refuge sur lesquelles je m’appuie et je me réfugie en cas de difficulté pour mieux rebondir ensuite.
Cela me rend encore plus exigeant et consciencieux dans mon quotidien, ce qui m’a très vite rendu crédible au sein de mon équipe et m’a donc donné de la confiance en moi.
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Marion Lemaire a débuté sa carrière en tant qu’ingénieur textile spécialisée en mode éthique ; elle faisait également du stylisme photo et du conseil. Elle a constaté, elle aussi, des ponts entre ces différentes disciplines et le test logiciel.
Il y a évidemment la minutie de l’ingénierie et l’habitude des process, mais au-delà de ça, il y a plusieurs choses :
Suite à cela, Marion a suivi une formation à l’EQL (Ecole de la Qualité Logicielle, à Montrouge juste à côté du Beffroi où se tient tous les ans la JFTL). Elle y est ensuite restée en tant que formatrice puis encore recruteuse de profils.
J’ai vu des artistes tatoueurs devenir d’excellents testeurs techniques, des prothésistes ongulaires devenir de géniales fonctionnelles avec un super côté support, et pléthore de profils incroyables comme des scripts dans le cinéma, des thésards en histoire de l’art, des artistes en mosaïque, des astrophysiciens… C’est incroyable les ponts que l’on peut faire !
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Munaf Abbas, ancien enseignant-chercheur, met en lumière par son témoignage de nombreux mécanismes de l’exigence intellectuelle, nécessaire à de bons tests.
Je suis un ancien enseignant-chercheur ayant travaillé pendant quelques années dans l’enseignement supérieur en France et à l’étranger. J’avais un poste fixe à l’étranger, Maître de conférences, que j’ai quitté pour revenir en France, où les postes sont très rares et parfois inaccessibles. J’ai deux doctorats, l’un en linguistique appliquée à la traduction et l’autre en sciences de l’information et de la communication.
Quand je me suis reconverti à l’informatique, ce qui m’a le plus attiré étaient la méthode et la qualité (la deuxième étant en partie une conséquence de la première).
Il y a beaucoup d’éléments que j’ai pu facilement recontextualiser de mes expériences passées : la méthodologie, la rigueur, la planification et le travail en amont sur la conception et sur les échéances. L’évaluation également est toujours présente à l’esprit ; comment on pourrait évaluer les choses, individuellement et collectivement : un produit, un plan ou un process de réalisation. La vision micro du projet se marie ainsi à la vision macro, et jouer un rôle de connecteur par moment m’a bien plu. J’étais, jusqu’à ma précédente mission, Scrum master et testeur en même temps, et mon expérience précédente m’a bien aidé là-dedans.
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Ancien cuisinier, Julien Antonio a puisé dans son expérience en cuisine de nombreux réflexes utiles en tant que QA.
L’attention au détail et le souci de la qualité sont importants dans les deux cas.
Côté testeur, il y a le fait de vérifier que ça fonctionne bien mais aussi que ça répond au besoin du client, plus les petits à-côtés qui font partie de la qualité. Par exemple : “Pourquoi ce nouveau bouton n’a pas du tout le même comportement que tous les autres sur la même page quand on clique dessus ou quand on le survole ?”
Côté cuisine, je trouve que de bonnes questions à se poser quand on goûte un plat sont : “Est-ce que c’est bon ? Est-ce que j’ai envie d’en reprendre une deuxième cuillère juste par gourmandise ? Si ce n’est pas le cas, qu’est-ce qui manque, quel est le problème ?” Ce n’est souvent pas grand-chose (un peu de jus de citron pour ajouter une touche d’acidité par exemple) mais ça fait la différence entre un plat correct et un plat où on va se dire « Han mais c’est super bon ! »
Côté développement on insiste beaucoup sur :
Côté cuisine on pourrait insister sur :
Et ça a beaucoup d’importance :
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Avant de rejoindre le monde de la qualité logicielle, Naa’ilah Aly a travaillé plusieurs années à Disneyland Paris. Une expérience humaine très riche et stimulante, qui lui permet aujourd’hui de faire face à de nombreuses situations.
J’ai effectué plusieurs postes à Disneyland Paris, le plus significatif ayant été celui de guest flow. Un peu partout à travers le parc nous étions en charge de gérer les différents flux des visiteurs, cela pouvait se traduire aussi bien par informer les gens, répondre à leurs attentes, assurer leur sécurité durant les parades, contrôler l’accès à certaines zones du parc pendant les spectacles mais aussi se charger de l’ouverture de certaines attractions et de l’accueil du public au sein de ces attractions.
La sécurité était la priorité pour Disney et les vérifications essentielles. Je n’aurais pas pu souhaiter une meilleure préparation pour mon métier actuel. J’y ai appris à faire des vérifications méticuleuses, aidées par l’usage de checklists, à ne pas laisser de détails sans surveillance, à faire les choses de façon logique et ordonnée. J’y ai aussi appris à placer le client en priorité, à faire preuve d’empathie, à dépasser ses attentes. J’y ai gagné également une bonne dose de diplomatie et une expérience dans la résolution de conflits.
C’est un peu grâce à Disney que je peux aujourd’hui vérifier une feature avec précision, en me mettant à la place de l’utilisateur et en rapportant les bugs mais toujours avec le sourire !
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Forte d’une expérience de téléopérateur, Alvine Kamga en tire une compréhension profonde des impacts d’une mauvaise expérience client, ainsi qu’une forte capacité d’écoute et d’empathie.
Mon expérience en tant que téléopérateur m’a permis de comprendre l’importance de la satisfaction du besoin de l’utilisateur final :
Comme je l’ai appris de mon expérience de téléopérateur : “Un utilisateur satisfait est un utilisateur dont le besoin a été compris et résolu.”
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Dino Dona a démarré sa carrière dans le monde de la production musicale. Un domaine qui semble éloigné de celui du domaine logiciel, et pourtant, les parallèles sont nombreux entre le processus de création d’un applicatif et celui de la production d’un album.
Lorsque l’on produisait des albums, le rythme était assez semblable à la production d’une application. Chaque titre passait par plusieurs phases : composition, écriture, enregistrement, ajustement, mixage, mastering. Chaque phase était dépendante de la précédente et demandait une validation par toute l’équipe.
Nous nous fixions un rythme théorique de 2 semaines pour terminer toutes les phases d’un titre.
Cependant, et contrairement à un produit numérique, la musique ne répond pas directement à un besoin. Son rôle premier est de transmettre des émotions et parfois, un titre qui ne suit pas un chemin de production « standard » comme évoqué précédemment peut être un carton.
J’ai découvert le test lors de la création d’un jeu pour smartphone dans l’univers de la musique.
Voici quelques softs skills qui m’ont permis de faire une bonne transition dans le monde du test et plus particulièrement sur le rôle de responsable QA :
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Sonia Boutaraamt a débuté sa carrière en tant que visiteuse médicale, c’est-à-dire porte-parole de laboratoires pharmaceutiques auprès de professionnels de santé. Une pratique qui a développé sa rigueur et ses compétences en communication.
La visite médicale consiste à rendre visite aux médecins généralistes et ou spécialistes, que ce soit en ville ou en milieu hospitalier. Dans mon cas, c’était les deux. Lors de ces visites, il s’agit de leur faire des rappels sur les spécialités du laboratoire (indications, contre-indications, effets indésirables, posologie), leur présenter les nouveaux médicaments et leur parler des études cliniques récentes.
Les situations similaires dans le monde de la qualité logicielle sont nombreuses. Elles se concentrent notamment dans la collecte des données et leur exploitation, le reporting, la mise en place de KPI pour atteindre les objectifs. Il y a aussi toute la partie bonnes pratiques et l’habitude de passer des certifications ; en effet, nous n’avions pas le droit d’aller sur le terrain si on était pas certifié tous les 3 mois. J’ai gardé ce côté, j’essaye toujours de me faire certifier au maximum.
En bref, les processus ont une même base : bonnes pratiques, certifications, stratégies (stratégie de test / stratégie commerciale) et politique (politique de test du SI / politique commerciale des laboratoires).
💊
Quelques jours après la parution de l’article, nous avons eu le plaisir de recevoir un autre témoignage tout aussi inspirant. Il s’agit de celui de , précédemment caissier dans une station service pendant 10 ans, avant de reprendre ses études et de se reconvertir dans le test logiciel.
Après quelques années dans le test je me suis rendu compte que le contact avec les clients m’avait facilité le travail avec les développeurs et les autres parties prenantes.
En station-service, quand le client se sert en carburant mais ne peut pas payer, c’est assez compliqué. En effet, là où on peut juste abandonner ses courses dans les autres commerces, en station ce n’est pas possible car le carburant est déjà dans le réservoir. Il faut donc toujours trouver un compromis avec le client. Et chaque client est différent. Avec le temps, j’ai appris à m’adresser de la bonne manière avec les clients pour trouver une solution. Cette « compétence » m’a beaucoup servi dans le test, surtout quand je travaille avec des équipes qui n’ont pas l’habitude de travailler avec un testeur. C’est assez délicat de remonter des bugs au début sans que les développeurs le prennent personnellement.
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Et encore un témoignage bonus avec Sylvain Viole, qui avant d’être QA engineer était régisseur lumière dans le spectacle.
Au moment de ma reconversion je me rappelle avoir beaucoup travaillé sur les ponts entre ces deux activités sans lien à priori.
Mon ancien métier consistait à préparer, installer, programmer et exploiter le matériel technique nécessaire à l’éclairage d’un événement, spectacle ou concert.
Il y a beaucoup de choses dans cette activité dont je me sers aujourd’hui dans mon métier de QA :
Un point déstabilisant en revanche aura été d’intégrer le côté incrémental des choses dans la tech, là où dans la régie technique le livrable devait être complet dès la première itération. (Parfois, souvent, il n’y en avait qu’une…)
Côté soft skills, l’anticipation, autonomie, l’organisation et la précision sont des qualités auxquelles les 2 activités font appel.
Avant de travailler sur la formulation de ces ponts entre la technique du spectacle et la QA, je trouvais le parallèle un peu tiré par les cheveux. Maintenant que ma reconversion est consommée, je le trouve évident.
💡
Le monde du test s’enrichit de la diversité des profils qui rejoignent cette profession. Les expériences passées construisent les soft-skills et permettent également d’aborder ce nouveau contexte avec un regard plus acéré.
Il n’y a donc pas d’hésitation à avoir si ce métier vous attire ; lancez-vous, vous allez faire des merveilles !
Et pour découvrir d’autres aspects du métier du test, rendez-vous sur notre page LinkedIn 🙂
Photo de couverture : James Wheeler
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